samedi 12 juillet 2008

Deuxième étape : Heathrow - Tokyo Narita

A l’heure où j’écris ces lignes (qui ne seront mises que plus tard sur le net, le temps de trouver du Wifi…), il ne me reste que 2h20 de vol. Autant dire « peanuts », vu que nous avons embarqué il y a au moins 10h (et je suis ravie d’avoir de petites jambes !!!). Nous survolons actuellement la Chine, et avons traversé il y a deux heures une forte zone de turbulence. Le délire total, l’avion remuait dans tous les sens, et ça n’a réveillé personne !!!! Depuis au moins cinq heures, tout le monde dort. L’avion est plongé dans le noir, alors que le soleil brille derrière les hublots fermés. L’avion est immense. C’est un Boeing 747 , le type d’avion dans lequel j’ai toujours voulu monter (depuis que j'ai lu "Vol 747 pour Sydney"... d’où mon excitation avant l’embarquement). Les premières classes sont spacieuses, avec des sièges en regard qui ont un design moderne, tout en courbure et métal. Derrière, il y a l’escalier qui mène à l’étage. Nous, nous sommes tout derrière, en classe éco. Les fauteuils se touchent presque sur des dizaines de rangées de neuf sièges, partagées par deux couloirs. Ma place donne sur le hublot, et je profite du décollage, toujours en plein brouillard. Tout en bas, sur la terre ferme, j’aperçois les résidences au toit rouge, comme de petites maquettes d’une ville anglaise.


Quand les nuages bouchent le spectacle, il est temps de trouver à s’occuper. Première idée : dormir. Avec mes quatre heures de sommeil la nuit dernière, je suis rompue de fatigue. Il est temps de récupérer. Au réveil, la seconde idée : le petit écran, incrusté dans le siège avant , qui contient films, séries (même un épisode de Pushing Daisies !!! ) et musiques, même si l’essentiel est en anglais, et sans sous-titre… Bref, c’est ainsi que le temps passe, entre « Les chroniques de Spiderwick » (pas mal, mais horriblement doublé), « Las Vegas 21 » (pas de grande nouveauté dans l’intrigue, mais un très bon jeu), et les petits sommes que je m’accorde. D’ailleurs, il est l’heure. Il me reste encore deux heures pour retrouver la forme. Suite des aventures à Tokyo...

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